SAINTE-BRIGIDE-D'IBERVILLE
La municipalité de Sainte-Brigide-d'Iberville, en collaboration avec la Coopérative Régionale d’Électricité, vous invite à une soirée portes ouvertes d’information et d’échanges sous forme de kiosques entourant le développement d’un projet éolien au nord de la municipalité.
DATE : 25 OCTOBRE - entre 16h30 à 20h
LIEU :
Centre municipal
510 9e Rang à Sainte-Brigide-d'Iberville
En concertation avec le milieu!
SAINT-JEAN-BAPTISTE
Origine du nom
La Seigneurie-de-Monnoir a été concédée à Claude de Ramezay, alors gouverneur de la ville de Montréal, par le gouverneur Vaudreuil et l'intendant Raudot, le 25 mars 1708. L'acte de concession de 1708 précise qu'elle sera connue « avec le nom de Monnoir ».
À cette époque, la Seigneurie-de-Monnoir couvrait le territoire de la Municipalité de Sainte-Angèle-de-Monnoir, mais aussi les municipalités avoisinantes notamment Sainte-Brigide-d’Iberville, Mont-Saint-Grégoire et Marieville.
Logo
Le logo du Projet Éolien Monnoir met l’emphase sur 3 grands axes :
Les éoliennes : Le vent et les éoliennes sont primordiaux au Projet Éolien Monnoir proposé au sud de Sainte-Angèle-de-Monnoir et au nord de Sainte-Brigide-d'Iberville. Il était de mise de représenter le tout en y insérant l’illustration d’éoliennes.
L’arbre : Le patrimoine est au cœur du projet. L’axe est représenté par l’arbre – nos racines. Nous retrouvons d’ailleurs le plus vieux hêtre au Québec dans la municipalité de Sainte-Angèle-de-Monnoir - Tournée vers l'avenir.
Les champs d’agriculture : Mettre en place un projet qui est en symbiose avec la terre était crucial. L’élément a été représenté par un champ de grande culture. Nous retrouvons d'ailleurs la gerbe de blé dans les armoiries de la municipalité de Sainte-Brigide-d'Iberville - Des gens de coeur et de terre.
Référence : Commission de la toponymie du Québec (https://toponymie.gouv.qc.ca/ct/)
SAINTE-ANGÈLE-DE-MONNOIR
Avant d’investir et d’acheter des actions d’une compagnie minière, vous voudrez connaître la nature et l’ampleur du gisement promis. Même chose avant de se lancer dans le développement d’une centrale hydroélectrique, il vous faudra connaître le débit de l’eau de la rivière sur laquelle vous souhaitez déployer des installations, à toutes les périodes de l’année. De façon similaire, avant de se lancer dans le développement d’un parc éolien, il est important de confirmer qu’il y aura bel et bien du vent pour que les éoliennes produisent l’énergie prévue, tout au long de l’année.
C’est la raison pour laquelle dès le début des premières études de développement, appelée étude de faisabilité, la Coopérative Régionale d’Électricité a installé, en mai 2022, un mât de mesure anémométrique de 86 m sur le site du projet. Le mât de mesure est installé afin de réaliser une étude énergétique approfondie de vent (campagne de mesurage) et confirmer le gisement éolien dans la zone du projet.
Cette structure métallique est composée de girouettes et d’anémomètres sur plusieurs niveaux différents (86m, 80m, 60m et 40 m) permettant de mesurer l’orientation et la vitesse des vents et des mesures sur l’humidité, la pression atmosphérique et la température de l’air. Autant d’éléments qui influencent la future production éolienne. Un coefficient multiplicateur est appliqué aux mesures pour adapter ces données aux tailles des éoliennes.
Ces mesures nous permettent de confirmer les hypothèses, ajuster la future position des éoliennes et choisir le modèle d’éolienne le plus adapté au site. Les données recueillies viendront compléter les autres études et collectes d’informations en cours de réalisation : études de l’impact environnemental, social et visuel, évaluation des capacités de raccordement, etc. Ces mesures sont essentielles et permettront de rassurer les futurs organismes bancaires qui pourraient financer le projet.
